Le blues de l'image : l'absorption Je pensais
Le blues de l'image : l'absorption
Je pensais écrire à Laurent mais je ne le faisais pas. Notre blog semblait au point mort. Je n'étais pas allée à sa rencontre. Il suffisait d'un dimanche pour que cela revienne, de revoir l'artiste, un autre homme qui aime la peinture comme moi je peux aimer la peinture au travers des hommes. C'était ainsi, la peinture m'attirait comme le plaisir interdit, unique, absou ou absolu.
Il y a des peintures que j'aimerais compléter de la façon que je les imagine, c'est à dire, ce que je vois, ce que mon imaginaire délivre comme degré d'absorption